MONTAGNE, limite de  la juridiction de Saint-Emilion

Le texte ci-dessous est un extrait de la charte par laquelle le roi d’Angleterre accorde (en 1289), aux officiers municipaux de St-Emilion, la haute et basse justice sur les biens et les personnes :

Edouard, roi d’Angleterre par la grâce de Dieu, Maître de l’Irlande et duc d’Aquitaine, donne son salut à tous ceux à qui parviendra la présente lettre : voulant faire faveur spéciale à nos chers et fidèles sujets, à nos jurats et à notre ville de Saint-Emilion, nous leur accordons le droit de ban, à savoir depuis ladite ville de Saint-Emilion, vers Castillon, jusqu'au lieu vulgairement appelé Pré de Neyron; de là, jusqu'au pont appelé de Pierre ; de là jusqu'au bord extérieur de la rivière de Brane (Dordogne); de là jusqu'à l'eau de Tailhayat (ruisseau de Tailhat) et jusqu'au bord extérieur, de ce dit bord jusqu'à la croix de Montagne (1) près de l'hospice de Pomeyrols; de la dite croix jusqu'au gué de Leyrat (Guadeleyrat) là où descend l'eau dite la varvanne (barbanne) et du lieu dit jusqu'au moulin Raymond des Cures (Moulin de Farguet) qui est dans le lieu appelé Parsac ; et du lieu dit jusqu'à l'orme de la Carrua, en dessous du Puy Blanquet ; du lieu dit jusqu'au lieu cité plus haut du pré de Neyron.

Confrérie des vignerons Montagne-Saint-Emilion

Les vins au sommet

Vignerons ils sont, Vignerons ils s’annoncent !

Créée par le Grand Maître Fondateur Louis Yerlès, La Confrérie des vignerons fut portée sur les fonds baptismaux le vendredi 29 mai 1981, en l'église St-Martin de Montagne et reçut la bénédiction de L'Abbé Laubry. Sous les voûtes de l'église romane, ce jour-là, le curé de la paroisse lut un passage de l’évangile, relatif aux noces de Cana, où Jésus accomplit le miracle de changer l’eau en vin...

Le grand conseil de la Confrérie est composée de quarante six membres, dont un Grand Maître, élus par leurs pairs.

Elle est investie en tout lieu et en tout moment du devoir de clamer haut et fort les mérites des vins de Montagne-Saint-Emilion.

Sa devise : « Vignerons ils sont, Vignerons ils s’annoncent ! »

Syndicat Viticole de Montagne Saint-Emilion

Un haut niveau d’exigence de la sélection à l'agrément

SYNDICAT

 

Montagne Saint-Emilion veut se faire un prénom

Dès le moyen âge et depuis lors, la provenance géographique d‘un produit représente une garantie d’authenticité et de qualité dont l’objectif est double : satisfaire aux attentes du consommateur et également protéger les producteurs.

Dès 1824, William Franck cite Montagne et St-Georges parmi les communes produisant le vin de St-Emilion.

En 1832 A. Jullien, dans sa topographie de tous les vignobles connus cite également ces deux communes.

En 1846 Ch. Cocks, dans Bordeaux, ses vins et ses environs traite également de ces deux communes.

Site du Syndicat Viticole de Montagne Saint-Emilion